Étudiante, j’avais appelé un certain Ricardo De Sousa suite à un problème de tuyauterie. C’était l’été et il faisait très chaud dans mon petit studio. Ricardo est arrivé en avance, je portais une nuisette transparente qui ne couvrais qu’une petite partie de mon corps.

« – Bonjour, merci d’être venu si vite, j’espère que vous allez réussir à m’aider avec ces canalisations…

– Ne vous en faites pas, aucun conduit ne résiste à ma mécanique… » répond-il d’un ton aussi bien catégorique qu’excitant.

Atelier bricolage sur le plan de travail..

Ricardo s’avance d’un pas viril vers l’évier et sort ses outils. Je lorgne sa clé à molette d’un air gourmand quand il me demande, en fixant ma petite tenue :

« Il fait chaud, je peux enlever mon t-shirt ? ».

Évidemment, j’approuve en minaudant et en me caressant les seins, sans trop de discrétion je l’avoue… La température monte, de la sueur ruisselle sur les pectoraux du beau Ricardo.

Je lui apporte un verre d’eau, il sort de sous l’évier et ni une, ni deux, je me retrouve sur le plan de travail. Je mouille comme jamais et cette fois, ce n’est pas de la sueur. J’attrape son gros engin qui n’a rien à envier à sa clé à molette. Je ne suis pas une grande bricoleuse, mais pourtant je m’en sers avec adresse.

Dans le feu de l’action, je lui lance :

« Allez Ricardo, t’as intérêt à bien déboucher mes conduits ! »

Pas farouche, il s’exécute bestialement et s’exclame :

« Je veux bien continuer, mais à ce rythme on risque à nouveau l’inondation… ».

Quelques culbutes plus tard et un bel orgasme, il est déjà temps de se dire adieu.

« Vous êtes décidément adroit face à tout type de fuite, merci pour vos services… » lui dis-je innocemment en le ramenant à la porte.

Et voilà, Ricardo était parti, mais aussitôt son déguisement enlevé, j’allais vite retrouver Richard, mon copain de l’époque…