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Dans mes rêves je me fais sodomiser par mon patron

Moi, c’est Cynthia. J’ai 32 ans et je suis mariée. Je travaille dans une prestigieuse société et je gagne assez bien ma vie. Récemment, le PDG a décidé de prendre sa retraite. C’était un homme responsable et respecté de tous en raison de son professionnalisme sans égal. Il a également choisi de nommer son fils, de retour de ses études en Angleterre, comme successeur. La dernière fois que j’ai vu le petit Lucas, il avait 13 ans et accompagnait son père. Cette anecdote date de dix années. Nous avions sympathisé à l’époque et j’étais ravie d’avoir une aussi adorable personne comme patron. Comment aurais-je pu me douter que ce mignon petit bout de chou me mettrait dans tous les états ?

Introduction du nouveau boss

C’est le jour J. Mon ancien patron passe officiellement le flambeau à son successeur. Tous les employés sont réunis, curieux de voir leur nouveau chef. C’est alors qu’un homme arrive dans la salle aux côtés du boss. 1m78 tout au moins, les cheveux châtains, la carrure svelte et la démarche assurée. Autant dire que Lucas avait changé. Il salua respectueusement l’ensemble des personnes présentes et exprima sa joie à l’idée de travailler avec nous. Au moins, à l’intérieur, il était toujours aussi sympathique. Une fois les formalités passées, la fête de bienvenue débuta.

Une discussion des plus troublantes

J’entreprends d’aller saluer le nouveau patron, même si je n’espère guère être reconnue. Nous parlons tout de même de dix années de séparation. J’ai oublié plusieurs de mes mis en deux fois moins de temps. Mais contre toute attente, il me reconnaît au premier coup d’œil. J’étais aussi surprise que flattée. Nous nous mîmes à discuter de tout et de rien, l’alcool accompagnant nos propos. Au bout d’un moment, je suis plus imbibée que de raison. Il propose alors de me ramener chez moi. N’étant pas en état de conduire, c’est avec plaisir que j’accepte sa proposition.

Sur le trajet, il m’avoue avoir ressenti des choses pour moi à l’époque. Pour lui, un jeune adolescent boutonneux, j’étais là définition même de son idéal féminin. À la fois belle et professionnellement accomplie. Je fus touchée par ses propos et admis que son apparence actuelle ne me laissait pas indifférente. Il se gara dans un coin et se mit à fougueusement m’embrasser.

Je sentais que je perdais mes sens et entrepris de dégrafer la fermeture de son pantalon. À peine avais-je mis la main sur son engin qu’il se ravisa. Il m’expliqua alors que c’était mal et qu’il ne souhaitait pas profiter de mon état. La bonne blague, j’ai juste envie de me faire mettre. Le reste du trajet fut silencieux. Il me déposa devant ma maison et rentra.

Une nuit particulièrement agitée

Une fois à la maison, j’espérais sincèrement voir mon époux. Mais il n’était pas là, sûrement occupé avec une de ses nouvelles conquêtes. J’abandonne alors tout espoir de jouissance et je tombe de fatigue sur le lit.

Tout à coup, je sens quelqu’un glisser ses doigts le long de ma peau. J’ouvre les yeux et je vois Lucas, le regard plein d’assurance. Il s’excuse et me demande si j’ai toujours envie. En guise de réponse, je réduis sa chemise en lambeaux. Je lèche son torse, ses abdominaux parfaitement dessinés, puis j’enlève son pantalon.

Je suce sa queue avec fougue, ne lui laissant pas une seconde de répit. Après avoir joui, il est encore plus dur. Il sort une capote de ce qu’il reste de sa chemise et l’enfile. Juste après, il entre en moi et entame ses va et vient. La fougue de la jeunesse fait vraiment des merveilles. Missionnaire, levrette, ciseaux, nous avons visité bon nombre des positions du Kamasutra. Une fois la jouissance satisfaite, il me fait comprendre que mon autre trou l’intéresse.

Une sodomie de rêve

Il me met sur le ventre et s’insinue doucement en moi. Heureusement, j’ai toujours du lubrifiant à portée de main. Son avancée se déroule sans encombre. Je suis même surprise de l’engloutir avec une telle facilité. Il accélère alors le rythme, m’obligeant à m’accrocher aux barreaux du lit pour tenir le coup. Ne hurle de plaisir et je sens la jouissance monter de nouveau. C’est à ce moment que j’ouvre les yeux. Je regarde alors mon lit vide et mes draps mouillés par ma cyprine.

Eh bien, à défaut de me faire mon boss dans la vraie vie, je me serai fait enfiler dans mes rêves. Et puis, rien ne dit que ce rêve ne deviendra pas réalité.