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Je fais des shows pornos mais je ne suis pas une pute

Leticia jeune femme de 24 ans, fait du live porno au quotidien. Pouvant être tendre, elle pourrait également se mettre dans la peau d’une méchante maitresse. Néanmoins sa plus grande spécialité c’est le show en solo.

Comment as-tu découvert le sexcam ?

J’ai commencé à faire des shows pornos à partir de l’âge de 22 ans. C’était en fait ma collocatrice de l’époque qui m’a initié dans ce métier. Ayant eu marre d’enchainer les petits boulots, j’ai préféré faire du sexcam. De plus, c’est un travail que j’apprécie particulièrement car j’ai le talent d’exciter les hommes justes par mes mots et par mes gestes.

Quand j’ai débuté, j’étais dans la catégorie des teens car j’ai allure d’une jeune fille. Mais comme j’étais parfois agressive pendant les shows, on m’a orienté à faire des animations types BDSM. Tout de suite donc, je me suis mis dans le rôle et je trainais les hommes par leurs couilles.

Actuellement, je fais du show porno en solo et selon les besoins de l’homme qui veut me sauter, je pourrais lui proposer divers types d’animation sexy via webcam.

Tu se sens comme une prostituée ?

Non, je ne suis pas une pute ! Je suis me sens plutôt actrice porno que prostituée ou escort girl. Contrairement à elle, je suis totalement consentante. De ce fait, quand j’ai un homme face à moi sur une web cam, je fais tout ce qu’il veut. Et je vous dis sincèrement, qu’aucun des hommes qui s’amusent avec moi ne parviennent à retenir leur éjaculation plus de 5 minutes. Pendant un live public, pas moins d’une vingtaine d’hommes ont avoué avoir joui alors que je n’ai pas encore sorti le grand jeu.

A part être cam girl tu fais quoi ?

J’adore le sexcam et je continuerais encore de le faire. De plus, je ne peux pas laisser tomber mes nombreux fans. Mais à part cela, je compte toutefois essayer de faire du vrai porno. J’ai d’ailleurs déjà tourné dans quelques scènes pornos amateurs et les retours sont plutôt bons ! Mon principal objectif, c’est de devenir actrice porno aux Etats Unis. Pour moi, c’est la meilleure manière de percer dans le secteur de la pornographie. En Europe, mes chances pour devenir une actrice phare sont plutôt minces. Le problème, c’est qu’avec les filles de l’Europe de l’Est qui sont très canons mais réclament peu de salaire, nous les françaises, les allemandes et les espagnols n’ont pas l’étoffe pour rivaliser avec elle. C’est pour cela donc que je travaille actuellement pour un site de sexcam anglophone. En faisant ça comme tremplin, je pense un jour collaborer avec les plus grands producteurs de films pornos américains.

Que pensent tes entourages de ton métier et a tu un copain ?

Dans mes débuts, j’ai eu pas mal de préjugé. Mes cousines m’ont traité de pute et les autres membres de ma famille étaient un peu à l’écart vis-à-vis de moi. Mais avec le temps, nombreux sont ceux qui ont regardé les choses d’une autre manière. Et ce n’est pas une option pour eux, car à mon sens, ma vie et mes ambitions ne dépendent pas d’eux. Qu’ils m’acceptent telle que je suis, je m’en fous un peu. Concernant le fait si j’ai un copain ou non ? J’en ai eu pendant mes débuts de carrière dans le sexcam, mais ça ne marchait pas trop. Ça ne venait pas d’eux mais de moi. Je préférais surtout me pencher sur mon métier que sur ma vie sentimentale. En somme donc, j’ai plus baisé virtuellement avec des hommes qu’avoir réellement des rapports sexuels sauf si je percerais dans le porno. Si ce serait effectif, je dois me préparer à me faire défoncer la chatte tous les jours tout en faisant mine d’avoir un intense plaisir.