Récit d’un gardien de prison qui couche avec ses détenues
Dans ma jeunesse, je n’étais pas du tout populaire et les filles me reniaient. Mais depuis que je suis devenu gardien de prison, je peux désormais coucher avec la femme que je veux.
Travaillant dans une prison dont je ne vais pas citer le nom, ni la ville depuis 5 ans, après deux années de services, j’avais constaté que j’avais une entière main mise envers les détenues. Je n’irais pas jusqu’à dire que je les viole, mais ce pouvoir que j’ai actuellement facilite ma chance de coucher avec qui je veux. Après, c’est aussi du donnant donnant. Comme elles ne doivent pas faire l’amour pendant un bon bout de temps, il faut que je les dépanne un peu. Jusqu’à maintenant, j’ai au moins couché avec une cinquantaine de détenues, mais pour vous épargner de lire une histoire de plusieurs pages, je vais vous résumer ici mes meilleurs coups.
La veuve noire Milf fut la première détenue que j’ai baisée
Accusée d’avoir tué son mari, elle purge une peine de 20 ans. Comme j’avais eu un peu pitié d’elle, je discutais avec elle fréquemment. Et une nuit, quand j’étais de garde, elle m’a demandé de la tenir un peu compagnie. J’ai alors ouvert sa cellule et on papotait un peu. Elle m’a après confier qu’elle était terriblement en manque. Elle a mis mes mains sur ses seins et je n’avais pas refusé sa proposition. Vite fait, je l’ai baisé, après je suis reparti faire ma ronde.
Depuis ce temps, au moins deux fois par semaine, je lui faisais l’amour jusqu’au jour où j’ai découvert que je pouvais aussi coucher avec d’autres détenues.
D’autres détenues m’ont fait des avances
Ma première amante dans la prison n’a pas su tenir sa langue et a dit à plein de femmes que j’étais un très bon coup. Très vite donc, d’autres détenues voudraient aussi avoir leur part de plaisir. A chaque fois que j’étais de garde alors, je visitais tour à tour les cellules de ces femmes et je leur fournissais de la bonne baise. Il m’arrive même parfois de coucher avec deux co-détenues en même temps.
Comme presque toutes les filles qui sont détenues dans notre prison souhaitaient faire une partie de jambes en l’air avec moi, je n’arrivais plus à tenir le rythme. J’ai alors avoué ma petite combine à un collègue et aujourd’hui on est actuellement cinq qui se relayer tour à tour pour sauter les femmes chaudes dans la prison.