J’ai un ami qui était sorti avec une nana quand il était adolescent, et qui n’était jamais parvenu à la tringler. Cette fille, pas bien longtemps après, est devenue actrice porno. Pouvez-vous imaginer le désarroi du mec ? Il est juste passé à côté d’une championne du monde du cul. Parce qu’il ne savait pas s’y prendre avec elle. C’est le genre de mésaventure que je ne souhaite à personne. Alors voici mes conseils pour reconnaître une cochonne au lit. Parce que ça serait con de se priver.

Savoir franchir les étapes

Il y a un temps pour tout. Pour la douceur, pour les bisous dans le cou, et puis il y a un temps pour déflorer des anus tout roses. Le truc pour ne pas s’emmerder au pieux avec une fille, c’est de savoir passer la vitesse au moment opportun. Par exemple, si vous êtes engagés dans une savoureuse partie de 69, c’est une bonne idée d’aller balader votre langue du côté du trou du cul. Il n’y a rien de mieux pour préparer l’orifice aux plaisirs du côté obscur. Ensuite, comme le 69 donne généralement ce genre d’idées, prenez la fille en levrette. Alors que vous la burinez, continuez à lui flatter la petite rondelle avec un puis deux doigts. Personnellement, je ne suis jamais tombé sur une nana qui me disait d’arrêter. C’est mécanique, elles aiment toutes ça, il y a une cochonne qui sommeille dans chaque femme, et qui ne demande qu’à être éveillée.

La fête à popol

Pensez au test du tirage de cheveu quand vous la chevauchez par derrière. Certaines n’aiment pas trop ça, mais d’autres adorent, ni plus ni moins. Dans ce dernier cas, et si vous avez fait les préparatifs dont je vous ai parlé, à ce stade, la fille a très bien compris qu’elle n’était pas là pour boire un thé. Les dernières pudeurs parties, vous allez pouvoir faire tout ce qui vous chante. Et encore mieux : elle aussi.